La fin de l'histoire
08/12/2020 06:23:30, Livres, Luis Sepulveda
La fin de l'histoire Luis Sepulveda texte complet
de Luis Sepulveda
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Juan Belmonte le sait bien : il n'y a pas de repos pour les braves. Retiré en Patagonie dans l'espoir de couler des jours paisibles aux côtés de sa compagne, l'ancien guérillero chilien doit accomplir une dernière mission : contrecarrer un complot visant à libérer de prison Miguel Krassnoff, descendant du dernier ataman et général de Pinochet. Animé d'une soif de vengeance, Belmonte est bien décidé à régler de vieux comptes à sa manière. Luis Sepúlveda est né en 1949 au Chili et vit actuellement en Espagne. Après Un nom de torero, également disponible en Points, il livre une nouvelle aventure de Juan Belmonte. " Magnifique. "Le Monde des livres " De Trotski à Poutine, La Fin de l'Histoire traverse au pas de charge le xxe siècle et ses utopies sanglantes. "Les Échos Traduit de l'espagnol (Chili) par David FauquembergVous trouverez ci-dessous les commentaires du lecteur après avoir lu La fin de l'histoire. Vous pouvez considérer pour votre référence.
Ce qui intéresse le plus chez Luis Sepulveda comme chez son collègue Ramon Diaz-Eterovic, c'est le style et chez Sepulveda l'histoire toujours liée aux années de plomb de la dictature Pinochet. Cette dictature, une des pires que nous ayons tolérée avec celle d'Argentine, cette dernière n'ayant même pas empêchée une coupe du monde de football se déroulant à portée de fusil de la fameuse école de marine où se déroulaientles interrogatoires mortels des dangereux révolutionnaires ! Dans cette intrigue on retrouve le passé qui fait partie du style de l'auteur et une intrigue policière à la fois simple et touffue... mais là n'est pas l'important. L'important c'est ce que nous donne à voir et penser l'auteur et son héros Belmonte qui porte le nom d'un torero célèbre et célébré dans le moindre pueblo Andalou. Le seul reproche que je fais à l'auteur portera sur la mauvaise qualité de sa documentation. À cet égard deux exemples:L'auteur fait référence aux 500 Robert Burns livrés pour Churchill par les Anglais à Yalta. Churchill n'a jamais fumé que des Havane (Por Larannaga par exemple) et sûrement pas des saletés comme les Burns !!Il est également fait référence au corps criblé de balles de Heydrich, ce qui est totalement faux. Le pistolet mitrailleur du résistant attaquant s'est rapidement enrayé lors de l'attentat. Ce qui a tué Heydrich c'est du crin de cheval de la banquette de sa Mercedes qui s'est introduit dans sonmuscle dorsal suite à une blessure légère..... et Heydrich est mort d'une septicémie à l’hôpital où il avait été amené.... ce qui montre bien que sa viande pourrie ne demandait qu'à mourir définitivement !
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